Le trek d’une vie – mon aventure et mes conseils au NEPAL – EVEREST BASE CAMP

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Il y a quelques mois, j’ai décidé de vivre une expérience assez incroyable avant d’avoir 30 ans. Je voulais vivre une aventure qui me marquerai à jamais. Cela faisait plusieurs années que je rêvais de faire ce trek mais j’avais peur de me lancer et je ne trouvais personne pour venir avec moi. J’ai décidé en novembre 2019 de faire le trek du camp de base de l’Everest au Népal.  Je te raconte…

  Carnet de voyage : le Trek du Camp de Base de l'Everest

Informations sur le voyage

  • Durée : 25 jours
  • Nombre de voyageurs : Solo
  • Budget par personne : 3000 euros €
  • Budget utilisé pour :
    • Vol ou transport
    • Logement
    • Activités
    • Visites
    • Food & drinks
  • Itinéraire : Sur la route de l'Everest! Je te raconte mon voyage au Népal mais surtout en détail mon trek au coeur des montagnes!
  • Ce voyage a été organisé par : Nepal Eco Adventure

Mon arrivée au Népal

Mon arrivée à l’aéroport de Katmandu (seul aéroport international du pays, je suis arrivée en provenance de Sydney avec la compagnie aérienne China Southern) s’est très bien passée. Il n’y avait pas beaucoup de monde lorsque je suis arrivée.

L’aéroport de Katmandu est petit alors nous avons attendu plus d’une heure dans les airs avant de pouvoir atterrir. J’ai donc eu le temps de contempler les montagnes. Lorsque l’on arrive à l’aéroport, la première chose que l’on doit faire c’est le visa pour nous permettre de rentrer sur le territoire.

Le visa

Mon conseil est de bien prévoir ses documents (passeport, réservation d’hôtel, vol retour…), ses photos d’identité (3 ont été suffisantes pour moi, si tu restes quelques semaines tu en auras besoin aussi d’une pour faire une carte sim pour ton téléphone et pour les permis de trek par exemple) et du cash pour payer le visa.

Contrairement à tout ce que l’on entend concernant la devise avec laquelle payer le visa, tu peux payer en euros, en dollars US, dollars australiens ou encore d’autres monnaies. Le prix du visa varie en fonction de la durée de ton séjour dans le pays. Tu peux vérifier avant ton départ toutes les informations à ce sujet (prix du visa, vaccins, sécurité dans le pays…) sur ce site https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays-destination/nepal .

Les vaccins

Avant mon départ pour le Népal, j’étais en Australie et le médecin m’a recommandé de faire plusieurs vaccins que j’ai fait par mesure de précaution. J’ai fait le Choléra, la Typhoïde et l’Hépatite A. Ils ne sont en aucun cas obligatoire. Il faut savoir qu’il y a certaines zones du pays qui sont un peu plus « dangereuses » que les autres. Je t’invite à te renseigner avant ton départ en voyage.

Si tu décides de faire des vaccins, il faut s’y prendre un peu à l’avance parfois.

Mon accueil à l’aéroport

J’ai été accueillie par un membre de mon agence de trek donc tout a été facile. La personne m’attendait devant l’aéroport. Mon guide m’a déposé dans le quartier de Thamel où se trouvait mon auberge. Puis, il m’a accompagné pour retirer de l’argent et prendre une carte SIM. Mon guide m’a donné quelques adresses pour acheter le reste de mon matériel nécessaire pour le trek.

J’ai beaucoup apprécié être accueillie et accompagnée pour faire toutes mes démarches lors de mon arrivée étant donné que je voyageais toute seule. Cet accueil m’a vraiment permis de me sentir plus à l’aise. Il faut dire que la ville de Katmandu est très polluée et surpeuplée. Il y a beaucoup de monde et rien n’est organisé. C’est parfois difficile de traverser la route, il faut se créer un petit chemin entre les voitures.

Vous l’aurez compris, voyager au Népal n’a rien à voir avec le fait de se promener à Paris ou dans un environnement européen comme on en a souvent l’habitude.

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Du rêve à la réalité

Après quelques jours dans la capitale, c’était l’heure de commencer cette aventure tant attendue!

J’ai donc fait le trek de l’Everest base camp (EBC) en groupe organisé (comme je voyageais solo) via une agence Népal Eco adventure (https://nepalecoadventure.com). Nous avions un guide pour 4 marcheurs et 2 porteurs pour nous 4.

Assurance

Je recommande vivement de prendre une assurance spéciale pour ce type d’aventure, je t’expliquerai plus loin dans l’article les raisons ! D’ailleurs, lorsque tu réserves un trek avec une agence, elle te recommande fortement de prendre une assurance spéciale. En ce qui concerne les agences, il y en a des tonnes avec des prix différents. Je t’invite à bien te renseigner avant de réserver et à regarder les avis. Ce trek est faisable en autonomie aussi.

Après avoir remuer ciel et terre pour trouver la bonne assurance, j’ai finalement trouvé mon bonheur. J’étais déjà en voyage avant de venir au Népal alors j’avais déjà souscrit à une assurance chez Chapka assurance https://www.chapkadirect.fr .

Cependant le problème de celle-ci, c’est qu’elle ne me couvrait pas au-dessus de 4000m d’altitude et elle ne pourrait pas me secourir en hélicoptère en cas de problème or ce sont les 2 principales raisons pour lesquelles tu dois prendre une assurance spéciale lorsque tu fais ce trek. (attention à bien lire ton contrat d’assurance)

Voici l’assurance que j’ai prise pour m’assurer une certaine sécurité pendant mon séjour en montagne https://www.assurance-multi-sports.com .

Le départ du trek

Ce trek (prévu avec cette agence) dure 12 jours de marche aller/retour avec vol de Katmandu à Lukla. L’aéroport de Lukla se situe au cœur de la montagne et est connu pour l’être l’aéroport le plus dangereux au monde. Je te laisse regarder des vidéos sur YouTube pour te rendre compte.

Le vol en lui-même est déjà une aventure. Avant d’embarquer on sent une tension palpable. Nous étions 18 avec le personnel d’équipage. L’avion était petit ! On se regardait tous, on se demandait ce qu’il aller se passer. On priait très fort pour arriver en haut vivant !

Finalement tout s’est très bien passé !

Mon conseil pour l’aéroport est d’arriver à l’heure pour ne pas devoir courir dans tous les sens. L’aéroport est petit mais ce n’est pas organisé comme nous en avons l’habitude en France alors ça peut vite devenir la pagaille. Il y a souvent des retards parce qu’on est au Népal et que tout le monde prend son temps mais surtout à cause des conditions climatiques et du trafic aérien donc pas de panique il faut mieux prendre son temps et arriver vivant !!!!!

L’arrivée à Lukla est impressionnante mais les pilotes gèrent ils ont l’habitude ! Tout au long de ce vol, la vue est vraiment magnifique. On était tous sur nos cameras en train de filmer mais c’était aussi très stressant

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La difficulté de ce trek

Le trek en soi n’est pas insurmontable ! Il y a des parties de trek plus difficiles que d’autres. Il y a des parties avec beaucoup de marches (escaliers) et enfin il faut sans arrêt faire attention où l’on marche parce que le chemin n’est pas toujours lisse. C’est la montagne et il y a des grosses pierres c’est pour cela qu’il faut être bien chausser.

Je recommande de porter des chaussures de randonner hautes ou mi hautes.

Pendant le trek, chacun prend son temps et fait des pauses. On profite de la vue, on fait des photos, on fait des rencontres, on discute. On se promène dans les villages.

Cependant, c’est un challenge assez stressant de randonner face à ce géant. On se sent tout petit au milieu des montagnes, on se questionne, on se demande en permanence si on va y arriver et ce qui nous attend…

Mais la beauté des paysages a apaisé toutes mes inquiétudes, mes douleurs morales, mes questionnements.

Je pense que ce trek est le genre de moment qui te fait profiter du moment présent, de l’instant, celui où tu profites d’être en pleine nature, au cœur de la montagne, avec des multitude d’animaux (des rapaces, des yak, des chevaux, des brebis…). Tu réalises que tu es dans un lieu unique et que ce que tu es en train de vivre est assez OUF!

 

Mon ressenti

C’était ma grosse inquiétude avant de démarrer ce trek : vais-je y arriver ? J’entends dire que c’est difficile mais quelle est le niveau de difficulté ? J’avais tant de questions qui venaient me hanter jours et nuits… J’aurai pu à tout moment décider de ne pas y aller, j’aurai pu rebrousser chemin plus d’une fois!

Tout au long du trek je n’ai ressenti aucune douleur physique ou musculaire, pas de cloque, pas de douleur aux pieds RIEN de tout ça SANS AVOIR FAIT DE PREPARATION PHYSIQUE PARTICULIÈRE POUR CE TREK. 
J’aime marcher, je me promène souvent à pied mais je n’avais pas fait de grosse randonnée avant le jour J. Je n’avais pas non plus été à la salle de sport puisque j’étais en voyage avant de partir au Népal.

J’ai été très sportive en étant plus jeune (j’ai joué au basket pendant 10 ans) mais on va dire que maintenant je fais du sport de manière occasionnelle.

Sache qu’il y a tout type de personne qui font ce trek : des jeunes, des personnes plus âgées, des sportifs ou non….

Je pense que la préparation mentale est aussi importante que la préparation physique et je pense clairement que c’est ça qui m’a permis de faire ce trek.

Il faut être prêt mentalement à vivre cette aventure et cette sortie de zone de confort. Chaque jour est une nouvelle étape, un nouveau défi, un dépassement de soi.

Une autoroute en pleine montagne

Ce trek est très connu. Il y a énormément de personnes qui viennent au Népal chaque année pour faire cette randonnée. Mais je pense que tant qu’on ne l’a pas vécu on ne peut pas se rendre compte.

C’est une autoroute en pleine montagne. Tout est organisé pour les touristes. Dans cette vallée on trouve absolument tout ce dont on pourrait avoir besoin. Les restaurants ne sont pas comme chez nous en Europe mais on y trouve presque tout: du ketchup, des bières ou autres boissons sucrées, des biscuits de toutes les marques, de vêtements… Et tout cela est amené au coeur de la montagne à dos de porteur. Autant dire que l’on voit des choses assez spéciales dans cette montagne: des porteurs en claquette, des porteur avec une machine à laver sur le dos, ou des packs de bières, de coca, des cartons de biscuits…. assez impressionnant !

 

Mon matériel de trek

J’avais acheté une partie de mes affaires en Australie car j’y étais avant le trek. J’ai acheté des vêtements de qualité mais à prix fort (Katmandu store et décathlon en Australie) et le reste sur place à Katmandu dans le quartier de Thamel chez Goreto Gear traders c’était de loin les moins chers et les plus serviables (vous pouvez aussi louer certains des articles).

 

Voici le contenu de mon sac à dos pour le trek (approximativement).

J’ai acheté à Sydney avant mon départ :

  • 1 serviette de toilette microfibre
  • 1 pantalon pour randonnée du magasin Katmandu en Australie
  • Une parka Goretex
  • Un mérinos manche courte de chez Katmandu
  • Un mérinos manche longue de chez Décathlon
  • Un legging normal
  • Un mérinos bas « active » du magasin Katmandu
  • Un mérinos bas « repos » du magasin Katmandu
  • Une polaire de chez Décathlon
  • Une veste technique de sport de chez Décathlon
  • 2 t-shirts simple en microfibre de chez Décathlon
  • Des chaussettes de randonnée
  • Une paire de gant fin de chez Décathlon
  • Un bonnet
  • Mon linen (drap microfibre)
  • Une doudoune

J’ai acheté quelques affaires avant le trek dans le quartier de Thamel pas loin d’où je séjournais (magasin cité plus haut) :

  • Des grosses chaussettes bien chaudes
  • Des lunettes de soleil
  • Des gants (des vrais gants)
  • Un tour de cou /écharpe
  • Un pantalon de randonnée

Outil indispensable pour le trek du camp de base de l’Everest : des chaussures de randonnée

Personnellement, j’avais acheté quelques mois avant mon départ en voyage (13 mois de voyage) des chaussures de randonnée Queshua. Elles sont chaudes, montantes, jolies et pas chères aussi ! Je les avais portés plusieurs fois avant de faire le trek (c’est très important). J’étais beaucoup stressée avant de partir au Népal et de commencer ce trek car je me disais que je ne serais pas assez bien chaussée (parce que je n’avais pas acheté des chaussures à 200 Euros !). Je vous rassure, les chaussures décathlon à 60 euros ont été parfaites !

Tu peux acheter tout sur place voir même pendant le trek. On trouve absolument tout sur le chemin de l’Everest.

Mon agence m’avait fourni (compris dans le prix que j’avais payé) :

  • Des bâtons de marche
  • Un duvet – 20 degrés (que j’ai utilisé !)
  • Une doudoune de qualité
  • Un sac de trek (j’avais laissé mon sac à dos de voyage à l’hôtel à Katmandu pendant toute la durée de mon trek)

 

 

S’hydrater pendant le trek

J’avais 2 gourdes (non filtrantes). J’ai rempli les gourdes au robinet (gratuitement) dans les tea house ou le long du trek et j’ai utilisé les pastilles pour purifier l’eau (je n’ai senti aucun goût pour ma part).

J’ai acheté ce produit en pharmacie à Katmandu, ce n’était pas cher. 
Selon moi, l’idéal est d’avoir un bon sac de randonnée (sac de jour) pour y mettre bâton de marche (même si je n’ai pas utilisé les miens !!) et un camelback et le reste… Pour ma part, c’était pénible de devoir m’arrêter et sortir mes gourdes à chaque fois que je voulais boire !

J’avais acheté une paille filtrante que je n’ai pas utilisé.

Les tea houses (les hébergements dans la montagne)

L’avantage lorsque l’on a un guide c’est que l’on ne s’occupe de rien et il nous emmène dans les meilleurs endroits. Il y a toujours une couverture et vous pouvez demander pour une supplémentaire (mais ce n’est peut-être pas partout le cas).
Certains lodges proposent des douches chaudes payantes (c’est possible et faisable pendant les journées d’acclimatation car il fait un peu plus chaud dans la journée sinon il faut trop froid pour une douche).

La pièce principale, là où on mange est chauffée, mais le reste du bâtiment ne l’est pas.

 

La nourriture

Il n’est pas conseillé de manger de la viande dans les montagnes car elle vient à dos de porteur en plusieurs jours ! Le mieux est de manger local au maximum même si après quelques jours on en peut plus. Je te conseille cependant de déguster des momos, un délicieux dal bhat. Pour ma part, j’adore la soupe qui accompagne ce plat.

 

Le mal des montagnes

A partir de Namche Bazar  à 3400 m d’altitude on peut ressentir le mal de tête  et de la fatigue. En cas de mal des montagnes, il suffira de bien manger en général, de boire du thé et de bien dormir pour que le mal passe.

Malheureusement à partir du moment où il est présent ce mal des montagnes, il se manifeste plus ou moins fort. Il est gérable la plupart du temps.

Plus on monte dans les montagnes, plus on peut le ressentir, d’où l’importance de faire des jours d’acclimatation. Il ne faut pas hésiter à prendre son temps, à se reposer et à ne pas aller trop vite.
Lorsque l’on accumule plusieurs symptômes c’est là que ça se complique (mal de tête, envie de vomir, ne plus tenir debout convenablement, hallucinations) et c’est là qu’il faut prendre le fameux Diamox (selon les nationalités et les médecins, les avis quant à ce médicament sont différents !!!!).

Si les symptômes persistent il faut surtout arrêter de monter !

Pour ma part, j’ai commencé à ressentir le mal de tête à 3400m. Les jours d’acclimatation m’ont beaucoup aidé, je me sentais toujours beaucoup mieux le deuxième jour.

 

L’oxygène

Chaque matin et soir il faut utiliser la petite machine (oxymètre) pour vérifier son taux d’oxygène et ça nous donne une bonne idée de son état physique. Si vous constatez un manque d’oxygène il faut rester à la même altitude ou descendre même d’un village (pour mieux respirer) ça aide mais en aucun cas continuer de monter !

Une bonne oxygène se trouve autour de 90.

Ma mésaventure

Donc pour ma part je n’ai pas pu continuer mon trek après LOBUCHE 4910m.

Pendant tout le trek, je n’ai eu aucune douleur, aucun mal physique mais à cette altitude, je n’avais plus assez d’oxygène. J’ai terminé cette 7ème journée de marche en pleur, allongée sur le canapé de notre tea house sans pouvoir bouger. J’étais très affaiblie.

Ça a été très frustrant à un pas du but final de ne pas pouvoir continuer ! Je devenais très lente, fatiguée et j’avais mal à la tête, mon oxygène était très faible je n’ai pas pu continuer.

Je me suis endormie en me demandant si je me réveillerai le matin suivant.

Par mesure de précaution, j’ai demandé à être rapatriée jusque Katmandu d’où l’importance d’avoir une bonne assurance.

Le lendemain de ma mésaventure, soit le 8ème jour de trek, lorsque mes collègues de randonnée prenaient la route pour se rendre au camp de base (l’étape tant attendue du trek), j’ai dû rebrousser chemin en hélicoptère.

Quoi qu’il en soit je suis tellement fière de moi pour ce premier trek, d’avoir osé vivre cette aventure et d’avoir marché 7 jours jusque 4910m d’altitude. Je n’ai aucun regret !

Avec le recul je me dis que j’aurais pu tenter d’autres treks plus accessibles avant d’aller me confronter à cette montagne !!!

 

Un séjour organisé

Partir en séjour organisé a beaucoup davantage selon moi : on est encadré, on est entouré, on est plus en sécurité que lorsque l’on fait cette randonnée seul. C’est un sacré budget à débourser de faire ce trek de cette manière mais en même temps je suis tellement heureuse de pouvoir permettre à ces personnes de vivre et de gagner leur vie.

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Payer mon guide, mon porteur, des extras (gâteaux, boissons…) dans la montagne, ça a un prix mais ça permet à toutes ces personnes de vivre.

Mon guide a été d’une gentillesse et d’une bienveillance extrême. Il a été présent à chaque instant du début jusqu’à la fin de cette aventure.

Je l’entends encore me dire “think positive Mag”, “you will feel better tomorrow”!

Les indispensables du trek selon moi: 

– avoir son propre papier toilette (dans les poches ou dans le sac à dos de jour)

– avoir des lingettes pour faire sa toilette
– Comprimés pour purifier l’eau 
– Chaussettes chaudes pour le soir mais des vraies! J’avais acheté les miennes à Thamel dans ce fameux magasin 
– Lunette de soleil (des vraies aussi !)

-Lampe frontale
– Gant fin pour la journée et des vrais gants chaud de ski
– Écharpe chaude 
– 1 ou 2 mérinos 
– Barres de céréales, bonbons ou ce que tu aimes (tout est cher dans la montagne) 
– Désinfectant pour les mains

GOOD TIPS POUR LE TREK AU CAMP DE BASE DE L’EVEREST :

  • Bien aérer sa chambre avant de s’installer, on ne sait pas qui a dormi dans la chambre avant et si ça a bien été nettoyé.
  • Boire beaucoup d’eau
  • Ne pas boire beaucoup d’eau le soir sous peine d’aller aux toilettes toutes la nuit et ne pas dormir
  • Manger des produits et plats locaux pour éviter de tomber malade
  • Ne pas manger de viande car elle vient à dos de porteur et elle ne sera sans doute plus très bonne une fois arrivée à destination !
  • Faire attention à ses déchets pour préserver cette montagne

 

J’espère que cet article te donnera envie de te surpasser et de toi aussi te lancer dans une aventure comme celle ci. Si tu es en pleine préparation et que tu as des questions, je serai ravie d’y répondre.

Je t’invite à me rejoindre sur les réseaux sociaux @_frenchiemaggie_ pour me permettre de voir tes jolies photos de voyage.

Je sais désormais que le chemin est souvent plus beau que le résultat en lui-même. Et je sais aussi que malgré la difficulté
plus aucune montagne n’est insurmontable.

A bientôt

Magali

 

4 réflexions sur “Le trek d’une vie – mon aventure et mes conseils au NEPAL – EVEREST BASE CAMP”

  1. Wow, what an incredible adventure you had in Nepal trekking to Everest Base Camp! Your blog post is not only a captivating tale of personal achievement but also a valuable resource for anyone considering embarking on this iconic journey.

    Thank you for sharing you wonderful journey in Everest Region.

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