Etape 2 : Pic Perdiguère et bivouac

Le pic Perdiguère
Deuxième étape de notre trek, sommet du Perdiguère et bivouac à l'Ibonet Perdigueret

Randonnée au Pic Perdiguère avec bivouac

Le pic Perdiguère domine le massif éponyme au sein de la majestueuse chaîne des Pyrénées (voici les plus beaux sites à faire dans les Hautes Pyrénées). Situé à la frontière entre l’Espagne et la France, il s’élève fièrement comme le sommet le plus élevé de la Haute-Garonne.

Voici le lien vers la carte à télécharger et la trace GPS.

 

Topo de la randonnée

  • Durée : 6h
  • Pays : Espagne
  • Massif : Pyrénées
  • Difficulté : Difficile
  • Dénivelé positif : 1000m
  • Informations supplémentaires : Neige possible, Panorama, Lac

Montée au Pic Perdiguère

-> Montée depuis la cabane de Literola pour rejoindre l’ibonet de Literola (+460m), chemin agréable qui passe par plusieurs petits lacs, les « ibonets ».

-> La montée jusqu’à l’ibon Blanco de literola se fait assez facilement (même si c’est un peu raide ) mais à partir de cet ibon et jusqu’au sommer, c’est là que ça se corse, le chemin est pas évident, surtout pas avec des sacs chargés, c’est plutôt raide (il faut bien monter les 600m positifs…) avec un passage aérien et en escaladant la paroi sur quelques mètres donc il ne faut pas être pressés et à éviter pour ceux qui pourraient avoir un peu de vertige.

Il faut également prévoir de l’eau car pas de ravitaillement possible (à moins de prendre l’eau du lac…). Les chaussures à tiges hautes sont à privilégier à cause des passages dans les pierriers.

-> Mais les difficultés sont oubliées une fois au sommet où la vue d’en haut est vraiment impressionnante, il y a un panorama à 360° sur plusieurs 3000m : Maladeta, Posets 

a group of people standing on top of a grass covered hillside

Descente du pic et bivouac

-> Pour la descente, nous avons voulu prendre un chemin pour rejoindre l’ibonet Perdigueret un peu plus bas et c’est là que ça s’est compliqué car on a perdu le chemin aux alentours du collada Ubaga qui, soit n’est pas balisé, soit mal (où alors on avait plus les yeux en face des trous -_-) mais le résultat est qu’on a passé beaucoup (trop) de temps à descendre pour trouver cet ibonet, avec la dernière heure dans un pierrier infernal. Bref, à éviter ou alors, prévoir une carte très précise et d’être en forme.

-> Finalement nous finissons par trouver ce petit lac qui était bien plus petit que prévu (merci la sécheresse), cependant bien placé car à l’abri du vent et plusieurs possibilités pour planter les tentes. Le lever de soleil est vraiment beau et la vue sur la vallée donne envie d’y descendre, ce qui va constituer la prochaine étape !

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