Découvrez notre ambassadeur Goyav Quenzworld
Informations sur le voyage
- Nombre de voyageurs : Solo
- Budget utilisé pour :
Je suis Quentin, un passionné de voyage et d’aventure de 25 ans, originaire d’un petit village dans le sud de l’Alsace, près de la frontière suisse. Le voyage c’est une raison d’être pour moi ! D’ailleurs, j’écris ces mots depuis le Canada où je vis depuis 4 ans. Je suis un mordu de vélo (VTT et route), de rando, de photographie et je suis un fervent défenseur de la cause animale. Aujourd’hui, j’essaye de voyager le plus souvent dans de grands espaces naturels, car c’est là que je me sens le mieux. Je partage mes expériences sur mon compte Instagram et maintenant sur Goyav !
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1. D’où vient ton goût pour le voyage ?
J’ai grandi en pleine campagne, où il y a plus de vaches que d’habitants, j’étais constamment dehors pour jouer avec mes amis et explorer les forêts alentour. On construisait des cabanes dans les bois et on organisait des batailles de marrons. Très rapidement, j’ai pris goût à l’aventure. J’avais envie de repousser mes limites et de sortir au-delà des contrées que je connaissais. Ajouter à cela un amour pour la photographie et la nature, explorer le monde semble alors une évidence.
2. Quelle est ta destination préférée ?
Cette question on me l’a posée très souvent (et je me le pose très souvent aussi). C’est très difficile, car toutes les expériences sont différentes et m’ont toutes apporté de belles choses. Toutefois, la Suisse reste pour moi une de mes destinations préférées. La montagne m’inspire beaucoup et la Suisse propose un large éventail de choix et des paysages à couper le souffle. La Norvège est également un voyage qui m’a profondément marqué.
3. Quel est ton voyage de rêve ?
Vous avez déjà vu le film Into the Wild ? J’aimerais beaucoup suivre les pas de l’aventurier Christopher McCandless en traversant l’Alaska à pied (même si je ne veux absolument pas partager son sort). Le Stampede Trail est un chemin reculé de 60 kilomètres au milieu de l’Alaska et qui traverse le magnifique Denali National Park. Ayant été très inspiré par le personnage de Christopher et de sa philosophie, j’aimerais beaucoup parcourir quelques kilomètres dans cet environnement où la nature est restée intacte.
4. Avec qui voyages-tu ?
J’ai rarement voyagé avec des amis, ils sont plus branchés farniente, que nature et grands espaces. J’ai voyagé en couple par le passé, à présent je voyage seul et c’est vraiment les expériences les plus enrichissantes. On s’ouvre plus facilement aux autres, on sort de sa zone de confort, on apprend à mieux se connaître et on ressort toujours plus grand et plus fort d’un voyage accompli seul.
5. Où rêverais-tu de vivre ?
J’ai toujours rêvé de vivre au Canada, et c’est chose faite ! Pour le moment, je me sens bien à Montréal, mais on ne sait jamais de quoi l’avenir sera fait! Peut-être qu’un jour j’irai quelque temps en Nouvelle-Zélande ou en Afrique du Sud.
6. Plutôt vacances sportives ou farniente ?
Sportives avant tout! Je ne suis vraiment pas un grand adepte des vacances à la plage où on sirote des cocktails à longueur de journée sous le cagnard. J’aime les sensations fortes, l’aventure, explorer et découvrir. Quand je rentre de vacances, je veux avoir des anecdotes à raconter, des histoires palpitantes à partager et de nouvelles rencontres à recontacter.
Bonus : Raconte-nous une anecdote marquante d’un de tes voyages (bonne ou mauvaise)
J’ai été interdit de territoire américain pendant 1 an pour une raison ridicule : j’avais oublié mon passeport. J’avais 19 ans et j’étais un peu naïf encore, je pensais qu’on pouvait traverser la frontière américaine en voiture sans passeport, mais juste avec un permis de conduire canadien or, ce n’est pas le cas. Plus jeune, j’allais très souvent en Allemagne ou en Suisse en voiture, et il n’y a jamais de contrôle. J’ai un peu réfléchi comme un européen et je pensais naïvement que ça allait fonctionner. Aujourd’hui, j’en rigole, mais c’est toujours un petit stress lorsque je traverse la frontière américaine. Cela dit je me suis vite rattrapé, car lorsque j’ai été autorisé à remettre les pieds sur le sol américain j’y suis allé plus d’une dizaine de fois.